Actualités et événements publiés sur la plate-forme communautaire d'Eco-innovation

• News event: "Accelerating the Commercialisation of Eco-Innovation in Europe‘s Regions"
• News: "EMAS Accommodation Infosheet 2016 lists EMAS-registered hotels, campgrounds, etc."
• News: "Report: Circular Economy clusters and emerging industries - impact on value chains and cross-sector collaboration"

L'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (l'IFREMER) est l'une des principales institutions océanographiques de la planète. Il compte près de 1 600 employés et a pour mission de mener à bien des travaux de recherche appliquée ciblés portant sur des questions comme l'impact du changement climatique sur les océans, la biodiversité marine, la prévention de la pollution et de la qualité des produits de la mer. L'IFREMER participe à de nombreux projets, visant notamment à mettre l'éco-innovation au service de la protection des océans. L'une de ses préoccupations actuelles porte sur la question des microplastiques présents dans la mer.
Chantal Compère, responsable de l'unité de recherche et de développement technologique de l'IFREMER, a abordé certains des défis auxquels sont confrontés les océans, que l'éco-innovation pourrait aider à surmonter, et a mis en évidence certains des principaux projets de recherche actuels.

Une entreprise affiliée à la société suédoise Saab, active dans les domaines de l'aérospatiale et de l'automobile, se prépare à l'installation d'une centrale électrique sous-marine qui, selon elle, produira de l'énergie de manière peu coûteuse avec un impact minimal sur l'environnement. Cette société, Minesto, a développé ce qui ressemble à un cerf-volant sous-marin qui effectue des boucles en forme de huit dans la mer, entraîné par les courants océaniques. Le cerf-volant contient une petite turbine qui est actionnée par l'eau qui la traverse. L'électricité générée par la turbine est transmise sur la terre ferme à l'aide d'un câble.

Une conférence de haut niveau tenue à la mi-avril à Utrecht, aux Pays-Bas, sous la présidence néerlandaise du Conseil de l'Union européenne, a vu la publication d'un manifeste qui établit une feuille de route pour le développement de la bioéconomie au sein de l'UE.